Partez à la découverte des néo-aventuriers des bois, changez de vie. Des rubriques sur la vie dans les cabanes, les habitats insolites, les actualités et le grand forum.
Cet espace est consacré à ceux qui pour des raisons économiques ou par simple redéfinition de leur chemin de vie ont opté pour un habitat alternatif du type cabane, jasse, mazet, yourte, etc… On peut tourner la page et vivre de manière encore comme un robinson.
Nous accueillons leurs témoignages des joies et des difficultés qu’ils rencontrent dans leur quête .Leur vision de la liberté, des points de vue sur l’autonomie matérielle, énergétique et financière.
L’esprit du retour à la nature est présent en chacun d’entre nous, surtout si vous êtes sur ce site.
Cependant une autre vie près de la nature est souvent une bascule dans l’inconnu. Il s’agit une nouvelle dimension dans un environnement plus vaste et plus solitaire.
Un nouveau et plus intense rapport à soi. Des choses à gérer, pas toujours évidente pour continuer à créer et construire sa vie. Souvent un projet solide est le visa recommandé. Parfois un break hivernal est prescrit. C’est tous ces domaines, sujets et échanges que nous vous invitons à découvrir sur les articles ci dessous.
J’illustrerais ces propos par un livre lu récemment « Etrangers sur l’Aubrac » Éditions du Bon Albert. L’auteur Nicole Lombard retrace son « exode » économique avec son mari et une petite arche de Noé . Ils fuient le Gard et le midi de la France et trouvent un repli au cœur de l’hiver entre quelques murs sur les monts d’Aubrac au nord de l’Aveyron et de la Lozère. Le parcours est rude, mais les ressources sont là. A découvrir dans notre médiathèque.
Le long des Rockies et plus au nord jusqu'au Montana, vit en marge une espèce, pas encore connue chez nous, d'écrivains écolos qui se retirent dans des coins ou ils ne rencontrent aucune âme qui vive à des dizaines de miles à la ronde et peuvent ainsi passer des hivers dans des cabanes à l'instar des anciens trappeurs.
(suite…)C'est une lutte de chaque instant pour les communes rurales. La sauvegarde du service public ou privé est un enjeu principal pour ne pas sombrer dans une spirale démographique trop négative.
(suite…)Tour d'horizons des évènements, blogs, récits de yourteurs et autres combats des habitants alternatifs. Un panorama de quelques luttes gagnées, repoussées, perdues depuis le début du siècle.
(suite…)Alexa Brunet du collectif Transit nous fait part de son excellent reportage photo sur ses "habitants atypiques". Un plongée fantastique en France au cœur d'habitants insoupçonnés.
(suite…)Jacques est passé de la grande ville à la campagne à la fin des années 70, sa licence de géo en réserve, dans l’idée de tenter son entrée dans l’éducation nationale en cas d’guerre, en cas d’crise...
(suite…)Pragmatisme du néo rural, Jacques est en fait un résumé d’un petit entretien enregistré sur un portable. Nous le restituons comme un témoignage d’un train de vie assez commun dans nos contrées.
Rappelé après une demande d’information sur les saunas et les éoliennes sur la boîte contact,
(suite…)Lucas a bien voulu nous délivrer la réalité de ce qu’il appelle son « exode rural » et nous lui avons demandé de bien vouloir amener un témoignage sur la quête de sa liberté, sans photos pour l’instant. Avantages et petits inconvénients.
Emma nous fait le plaisir de nous conter quatre années de sa vie dans sa cabane, je n'en dit pas plus : Clap !
(suite…)Une ode, un hymne à la cabane, une histoire de solitude dans les bois, vécu par une femme, un long passage dans un coin de France : une aventure possible.
Martine Schnoering nous parle d'une petite maison de randonneurs dans le massif du Donon (Vosges) dans laquelle elle aime venir séjourner de façon hebdomadaire, et dont l'ambiance lui rappelle le film Dersou Ouzala, de KUROSAWA.
(suite…)Massif du Donon, décembre 2OOO
« Ma maison dans la forêt » n’est pas à moi et ne semble pas non plus appartenir à qui que ce soit. Elle offre son modeste « confort » à tous ceux qui en franchissent le seuil, randonneurs en quête d’un abri, fêtards d’un soir, bûcherons ou « ermites du dimanche », comme moi, à la recherche d’un peu de calme.