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Bonjour à toute la communauté.
Je fais suite à des échanges que j’ai eu avec la rédaction du site les cabanes. Je propose de créer un sujet 2022 sur les éco-vies. Je ne suis pas dans cette démarche mais je réside 5 mois en moyenne depuis plus de 20 ans en rural avec diverses expériences.
Dans le contexte actuel, et suite aux différents changements de société que nous avons connu notamment après la crise covid. "Je parle bien entendu de changement de société puisque nous avons connu une situation sans précédent avec notamment le confinement, avec des obligations vaccinales, avec des manipulations de la population". Bien entendu, il s'agit de mon prisme personnel mais qui sans les écrans de fumées actuels se révèlent de plus en plus exacts. Tout les médias s'accordent à dire que beaucoup de populations ont migré en France périphérique. Soit en dehors des quinzaines de métropoles.
Enormément de personnes ont été tentées de sortir de certains pôles qui pouvait être concentrationnaires de tensions.
Aussi, nous avons vu dans les petites villes du Sud, une augmentation de la population qui a été validée par les offices notariés. En effet ceci dans des petites villes autour de 30 40 000 habitants ont vu le nombre de transactions immobilières exploser. D’un autre côté certaines personnes qui ont déjà franchi le pas se posent des questions de vivre sur des lieux de vie alternatif. Une volonté de mutualiser les taches, les savoirs, les couts et les risques.
Les éco lieux, ou hameaux village sont un prolongement de ce que souhaite créer aussi les citadins dans les éco quartiers. Mais est-ce que les villes sont les meilleurs endroits pour vivre en communauté, rien n’est moins sur. C’est une question de sécurité. En effet le besoin de vivre en communauté est un besoin de plus d’authenticité moi aussi de plus de sécurité.
Il va de soi qu’il est de construire une cabane, habiter une yourte ou de vivre dans des habitations écologiques sont un principe qui réunit les attentes profondes de nombreuse catégories. La création de jardin partagé, de culture maraîchère en Permaculture ou l’autosuffisance énergétique reste un noyau qui soude la communauté.
Mais les raisons qu’on peut qualifier de profondes sont un besoin de sécurité. Sécurité physique et sécurité alimentaire.
Alors bien entendu quand on parle de communauté, on peut remonter sur l’époque des années 60 et 70 où sont nées des communautés diverses en mode pionniers (on peut citer le plein boum des colonies d'Israël par exemple) et notamment à la campagne. Souvent le but fut de rénover des habitats pierre. Moins de vivre dans un habitats insolite ou alternatif.
Actuellement les personnes souhaitent investir dans des habitats légers. Par contre est-ce que cela est moins polluant que de rénover un habitat en rural? C’est la question que l’on peut se poser. En effet, les ruines sont là et on voit souvent dans les habitat alternatif s'amonceler des caravanes, un tas de débris qui peuvent nuire à la nature en cas d’abandon. Nombre de vidéos de permaculture exhibent une nature pas très photogénique avec moultes réservoir plastiques, bâches, etc.
Ça fera peut-être bondir les lecteurs mais c’est la réalité du terrain. D'un autre côté la rénovation constitue un bien et qui peut passer de main en main et ce sont souvent des constructions qui sont déjà faites avec des moyens très naturels. Après mettre une charpente en bois et des tuiles par exemple ne constitue pas une atteinte à la planète. Bien entendu je n'oublie pas les installations et l'isolation. mais tout çà contribue à l'économie des acteurs locaux.
Voilà concernant le constat global. Alors est-ce que ces communauté sont viables? Est-ce que l’utopie avec le recul et les 50 ans passés de test et de confrontation les uns aux autres apportent des solutions viables sur le moyen et long terme ?
Il va de soi que dans un écho lieu on va accueillir des personnes sur un mode de vie différent et les problèmes vont souvent rester les mêmes. Il peut y avoir des problèmes comportementaux, des problèmes de sociabilité, et des problèmes récurrents d’addiction par exemple. L'addiction étant parfois plus facile à gérer en milieu urbain. La vie en communauté peut apporter son lot de soucis dans la mesure où souvent cela se passe à la campagne et que les hivers à la campagne sont longs et monotones. Il faut être solide.
Je vais dans un prochain post développer le nombre de possibilités qu’on peut trouver sur les réseaux notamment sur les passerelles et les sites qui donnent l’occasion de rencontrer des personnes qui souhaitent partager, accueillir et se rassembler.
Je fais suite à des échanges que j’ai eu avec la rédaction du site les cabanes. Je propose de créer un sujet 2022 sur les éco-vies. Je ne suis pas dans cette démarche mais je réside 5 mois en moyenne depuis plus de 20 ans en rural avec diverses expériences.
Dans le contexte actuel, et suite aux différents changements de société que nous avons connu notamment après la crise covid. "Je parle bien entendu de changement de société puisque nous avons connu une situation sans précédent avec notamment le confinement, avec des obligations vaccinales, avec des manipulations de la population". Bien entendu, il s'agit de mon prisme personnel mais qui sans les écrans de fumées actuels se révèlent de plus en plus exacts. Tout les médias s'accordent à dire que beaucoup de populations ont migré en France périphérique. Soit en dehors des quinzaines de métropoles.
Enormément de personnes ont été tentées de sortir de certains pôles qui pouvait être concentrationnaires de tensions.
Aussi, nous avons vu dans les petites villes du Sud, une augmentation de la population qui a été validée par les offices notariés. En effet ceci dans des petites villes autour de 30 40 000 habitants ont vu le nombre de transactions immobilières exploser. D’un autre côté certaines personnes qui ont déjà franchi le pas se posent des questions de vivre sur des lieux de vie alternatif. Une volonté de mutualiser les taches, les savoirs, les couts et les risques.
Les éco lieux, ou hameaux village sont un prolongement de ce que souhaite créer aussi les citadins dans les éco quartiers. Mais est-ce que les villes sont les meilleurs endroits pour vivre en communauté, rien n’est moins sur. C’est une question de sécurité. En effet le besoin de vivre en communauté est un besoin de plus d’authenticité moi aussi de plus de sécurité.
Il va de soi qu’il est de construire une cabane, habiter une yourte ou de vivre dans des habitations écologiques sont un principe qui réunit les attentes profondes de nombreuse catégories. La création de jardin partagé, de culture maraîchère en Permaculture ou l’autosuffisance énergétique reste un noyau qui soude la communauté.
Mais les raisons qu’on peut qualifier de profondes sont un besoin de sécurité. Sécurité physique et sécurité alimentaire.
Alors bien entendu quand on parle de communauté, on peut remonter sur l’époque des années 60 et 70 où sont nées des communautés diverses en mode pionniers (on peut citer le plein boum des colonies d'Israël par exemple) et notamment à la campagne. Souvent le but fut de rénover des habitats pierre. Moins de vivre dans un habitats insolite ou alternatif.
Actuellement les personnes souhaitent investir dans des habitats légers. Par contre est-ce que cela est moins polluant que de rénover un habitat en rural? C’est la question que l’on peut se poser. En effet, les ruines sont là et on voit souvent dans les habitat alternatif s'amonceler des caravanes, un tas de débris qui peuvent nuire à la nature en cas d’abandon. Nombre de vidéos de permaculture exhibent une nature pas très photogénique avec moultes réservoir plastiques, bâches, etc.
Ça fera peut-être bondir les lecteurs mais c’est la réalité du terrain. D'un autre côté la rénovation constitue un bien et qui peut passer de main en main et ce sont souvent des constructions qui sont déjà faites avec des moyens très naturels. Après mettre une charpente en bois et des tuiles par exemple ne constitue pas une atteinte à la planète. Bien entendu je n'oublie pas les installations et l'isolation. mais tout çà contribue à l'économie des acteurs locaux.
Voilà concernant le constat global. Alors est-ce que ces communauté sont viables? Est-ce que l’utopie avec le recul et les 50 ans passés de test et de confrontation les uns aux autres apportent des solutions viables sur le moyen et long terme ?
Il va de soi que dans un écho lieu on va accueillir des personnes sur un mode de vie différent et les problèmes vont souvent rester les mêmes. Il peut y avoir des problèmes comportementaux, des problèmes de sociabilité, et des problèmes récurrents d’addiction par exemple. L'addiction étant parfois plus facile à gérer en milieu urbain. La vie en communauté peut apporter son lot de soucis dans la mesure où souvent cela se passe à la campagne et que les hivers à la campagne sont longs et monotones. Il faut être solide.
Je vais dans un prochain post développer le nombre de possibilités qu’on peut trouver sur les réseaux notamment sur les passerelles et les sites qui donnent l’occasion de rencontrer des personnes qui souhaitent partager, accueillir et se rassembler.
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