Le billet de la rédaction en page Robinson est reporté sur ce forum pour y accueillir vos réflexions
février 2008 "Arrêtons la parano"
Le billet de la rédaction
Février 2008 "Arrêtons la parano"
Il règne une petite effervescence dans les bois du fait de quelques cas de crises ponctuelles opposant des partisans de vies alternatives aux élus et donc par voie de fait des suite judiciaires qui réveillent des sentiments de révolte et des signaux d'alarmes. Le phénomène est loin d'être nouveau dans les campagnes, il faut rester vigilant.
Ca fait 40 ans que les "chevelus" défilent et les gens intelligents ont bien remarqué que ce sont souvent des néo ruraux, même s'ils arrivent là sans trop de projets au départ, qui vont amener un flux et la vie pour maintenir des écoles, des services, quelques emplettes chez les marchands de matériaux et les commerçants du coin. Les résidences secondaires c’est bien… sur le court terme.
En première ou seconde génération, ils constituent du sang neuf dans les campagnes qui se dépeuplent quoiqu’on en dise. Vu que certains problèmes se situent en Lozère par exemple, ce serait un dénie de ne pas prendre en compte que certaines villes des alentours comme Ganges, Bédarieux, Florac ou encore St Aff. en ont profité.
Mais souvent les élus locaux en ont bien conscience et nous nous adressons à eux dans ce billet pour qu’ils ne laissent pas galvaniser par des mis à l’index alarmistes des préfets ou autres responsables des zones décentralisés sous prétexte d’écologie , de problèmes sanitaires ou autres affabulations.
Et c’est quand même plus sain que les déportations, qui vu de loin ressembleraient à des « arches de Zoé » gouvernementales, qui de 1963 à 1982 ont déplacé 1600 enfants Réunionnais dans des départements comme la Creuse mais aussi la Lozère, en les enlevant( la plupart du temps) à leurs parents bien souvent illettrés, pacifiques et impuissants. C'était pas du joli joli cette histoire, mais il bon de se le rappeller. Un bon devoir de mémoire...
Les Réunionnais de la creuse: ouvrages de J.J Martial et ivan Jablonka. www.rfo.fr/article1062.html
Alors stop, stop, Il faut que les gens cohabitent, s’intègrent, respectent, l’environnement le paysage. Mais il faut surtout que l’état arrête de dresser les Français entre eux sous des prétextes divers. soyez vigilants messieurs les maires , restez humains. C’est évident que les départements et les régions en veulent toujours plus en terme de recettes du fonciers, que les projets urbanistiques sont démesurés par rapport à nos moyens réels et ce n’est pas cela qui contribuera à relancer les économies (ça a été économiquement prouvé). Nicolas Hulot ne se trompe pas de cible lors de ces reflexions sur "le territoire", il ne parle pas des cabanes ou des yourtes mais des projets de grande envergure qui ne s'arrêterons pas car l'argent est là.
Alors il faut user de tolérance pour les uns et de respect pour les autres, avant que la fronde gagne du terrain.
février 2008 "Arrêtons la parano"
Le billet de la rédaction
Février 2008 "Arrêtons la parano"
Il règne une petite effervescence dans les bois du fait de quelques cas de crises ponctuelles opposant des partisans de vies alternatives aux élus et donc par voie de fait des suite judiciaires qui réveillent des sentiments de révolte et des signaux d'alarmes. Le phénomène est loin d'être nouveau dans les campagnes, il faut rester vigilant.
Ca fait 40 ans que les "chevelus" défilent et les gens intelligents ont bien remarqué que ce sont souvent des néo ruraux, même s'ils arrivent là sans trop de projets au départ, qui vont amener un flux et la vie pour maintenir des écoles, des services, quelques emplettes chez les marchands de matériaux et les commerçants du coin. Les résidences secondaires c’est bien… sur le court terme.
En première ou seconde génération, ils constituent du sang neuf dans les campagnes qui se dépeuplent quoiqu’on en dise. Vu que certains problèmes se situent en Lozère par exemple, ce serait un dénie de ne pas prendre en compte que certaines villes des alentours comme Ganges, Bédarieux, Florac ou encore St Aff. en ont profité.
Mais souvent les élus locaux en ont bien conscience et nous nous adressons à eux dans ce billet pour qu’ils ne laissent pas galvaniser par des mis à l’index alarmistes des préfets ou autres responsables des zones décentralisés sous prétexte d’écologie , de problèmes sanitaires ou autres affabulations.
Et c’est quand même plus sain que les déportations, qui vu de loin ressembleraient à des « arches de Zoé » gouvernementales, qui de 1963 à 1982 ont déplacé 1600 enfants Réunionnais dans des départements comme la Creuse mais aussi la Lozère, en les enlevant( la plupart du temps) à leurs parents bien souvent illettrés, pacifiques et impuissants. C'était pas du joli joli cette histoire, mais il bon de se le rappeller. Un bon devoir de mémoire...
Les Réunionnais de la creuse: ouvrages de J.J Martial et ivan Jablonka. www.rfo.fr/article1062.html
Alors stop, stop, Il faut que les gens cohabitent, s’intègrent, respectent, l’environnement le paysage. Mais il faut surtout que l’état arrête de dresser les Français entre eux sous des prétextes divers. soyez vigilants messieurs les maires , restez humains. C’est évident que les départements et les régions en veulent toujours plus en terme de recettes du fonciers, que les projets urbanistiques sont démesurés par rapport à nos moyens réels et ce n’est pas cela qui contribuera à relancer les économies (ça a été économiquement prouvé). Nicolas Hulot ne se trompe pas de cible lors de ces reflexions sur "le territoire", il ne parle pas des cabanes ou des yourtes mais des projets de grande envergure qui ne s'arrêterons pas car l'argent est là.
Alors il faut user de tolérance pour les uns et de respect pour les autres, avant que la fronde gagne du terrain.