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- 4 Septembre 2012
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Bonjour,
Je me jette, comme une bouteille à la mer…..(en verre) , bien sûr….
Voilà, je représente une tranche d’âge particulière, à l’approche de la soixantaine, une classe sociale aussi, de personnes ayant cessé certaines compromissions avec le mode de vie moderne, mais cela ne suffit pas ….Nous aimerions vivre davantage en accord avec nos valeurs, nous sommes une génération particulière, nos parents sont, souvent, encore vivants, détenteurs du patrimoine familial ou « internés » contre « bons » soins dans des collectifs qui, en général, se paieront sur le patrimoine de ces personnes. Nous les voyons décliner, médicalisés à outrance, pour la plupart, dans l’absence de plaisir ...d’être….(encore) au monde…d’Etre.
Notre génération, du moins une partie de cette génération, souhaite vivre en évitant deux directions : la dépendance et la soumission aux caractères marchands de la vieillesse…
Exclus pour nombre d’entre nous, auto-exclus pour certains, du système socio-économique dirigé par le grand capital (actuel, quelque soit le gouvernement), nous souhaitons trouver un mode de vie basé sur la « simplicité volontaire » (sorte de décroissance réfléchie) qui nous permette de respecter de mieux en mieux la Nature, la responsabilité individuelle, le partage, et la mise en commun de savoir et savoir faire utiles au projet collectif localement et globalement par répercussions.
Je représente ici un point de vue partagé par un petit groupe, je suis à la recherche d’autres personnes dans le même type de profil : entre 55 et 75 ans (simple fourchette indicative), souhaitant cesser ou ayant cessé d’être « actif » au sens socio-économique (notamment salarié), ayant eu un chemin de vie conduisant à une remise en question du consumérisme et de l’économie de marché, ayant un besoin de renouer avec la nature sur un plan sensoriel et spirituel, ayant le goût du partage et de l’échange, mais le sens du travail sur soi et du détachement, vivant seul ou à deux … souhaitant VIVRE les jours qui viennent (éventuellement) et ne pas subir les choix de fin de vie, offerts actuellement, en cas de perte d’autonomie due au vieillissement.
Nous pourrions mutualiser nos ressources matérielles et envisager un village de zomes ou autres constructions de ce genre, autour de bâtiments collectifs, dans la nature, où nous pourrions produire des aliments ou davantage, pour notre consommation, et au-delà, si nécessaire, pour parvenir à une autosuffisance dans le cadre d’une vie simple, non compétitive, où travailler à son rythme pour le bien être d’une communauté.
Si la lecture de ce message ne vous parait pas si utopiste que cela, et que vous souhaitiez en parler ….
Je jette cette bouteille à la mer, si vous connaissez des réalisations similaires ou proches, si vous souhaitez, vous, pouvoir vivre quelque chose comme ça, si vous voulez en savoir davantage........ ou que je me sois mal exprimée….
Je reste persuadée que beaucoup ont, envie de cette phase de retour à l’essentiel, après avoir conjugué les verbes faire et avoir, pendant un demi-siècle, ils souhaitent prendre le temps d’ETRE ……. Difficile…. Au milieu des fausses lumières de la ville………
Je me jette, comme une bouteille à la mer…..(en verre) , bien sûr….
Voilà, je représente une tranche d’âge particulière, à l’approche de la soixantaine, une classe sociale aussi, de personnes ayant cessé certaines compromissions avec le mode de vie moderne, mais cela ne suffit pas ….Nous aimerions vivre davantage en accord avec nos valeurs, nous sommes une génération particulière, nos parents sont, souvent, encore vivants, détenteurs du patrimoine familial ou « internés » contre « bons » soins dans des collectifs qui, en général, se paieront sur le patrimoine de ces personnes. Nous les voyons décliner, médicalisés à outrance, pour la plupart, dans l’absence de plaisir ...d’être….(encore) au monde…d’Etre.
Notre génération, du moins une partie de cette génération, souhaite vivre en évitant deux directions : la dépendance et la soumission aux caractères marchands de la vieillesse…
Exclus pour nombre d’entre nous, auto-exclus pour certains, du système socio-économique dirigé par le grand capital (actuel, quelque soit le gouvernement), nous souhaitons trouver un mode de vie basé sur la « simplicité volontaire » (sorte de décroissance réfléchie) qui nous permette de respecter de mieux en mieux la Nature, la responsabilité individuelle, le partage, et la mise en commun de savoir et savoir faire utiles au projet collectif localement et globalement par répercussions.
Je représente ici un point de vue partagé par un petit groupe, je suis à la recherche d’autres personnes dans le même type de profil : entre 55 et 75 ans (simple fourchette indicative), souhaitant cesser ou ayant cessé d’être « actif » au sens socio-économique (notamment salarié), ayant eu un chemin de vie conduisant à une remise en question du consumérisme et de l’économie de marché, ayant un besoin de renouer avec la nature sur un plan sensoriel et spirituel, ayant le goût du partage et de l’échange, mais le sens du travail sur soi et du détachement, vivant seul ou à deux … souhaitant VIVRE les jours qui viennent (éventuellement) et ne pas subir les choix de fin de vie, offerts actuellement, en cas de perte d’autonomie due au vieillissement.
Nous pourrions mutualiser nos ressources matérielles et envisager un village de zomes ou autres constructions de ce genre, autour de bâtiments collectifs, dans la nature, où nous pourrions produire des aliments ou davantage, pour notre consommation, et au-delà, si nécessaire, pour parvenir à une autosuffisance dans le cadre d’une vie simple, non compétitive, où travailler à son rythme pour le bien être d’une communauté.
Si la lecture de ce message ne vous parait pas si utopiste que cela, et que vous souhaitiez en parler ….
Je jette cette bouteille à la mer, si vous connaissez des réalisations similaires ou proches, si vous souhaitez, vous, pouvoir vivre quelque chose comme ça, si vous voulez en savoir davantage........ ou que je me sois mal exprimée….
Je reste persuadée que beaucoup ont, envie de cette phase de retour à l’essentiel, après avoir conjugué les verbes faire et avoir, pendant un demi-siècle, ils souhaitent prendre le temps d’ETRE ……. Difficile…. Au milieu des fausses lumières de la ville………