Peut-être une solution pour aider des sans abris

gaucho

Constructeur
Communauté des cabanes
Inscrit
12 Avril 2009
Messages
10
Points
0
J'ai derrière moi plusieurs année de vie en forêt en Guyane, et depuis mon arrivé en Métropole, en voyant des gens dans la rue, sans toit sur leur tête, passant des hivers dans le froid, n'ayant pas une hygienne de vie alimentaire convenable, je ne peu m'empêcher de pensé aux années que j'ai passé en forêt. En bord de rivière où j'allais le soir à la pagaie mettre le filet de pêche, où sur le terrain, au file du temps, mon abatis me donnais la presque totalité des légumes et fruits que je consomais, où mon carbet était luxueux, car ouvert de toute pars j'avais chaque instant le plaisir d'admirer la nature, je cuisinais sur ma table à feu, au feu de bois bien sûr, une crique à proximité me permettait de puiser l'eau potable, de me laver, de laver le linge et la vaisselle, le luxe de plusieurs douche par jour, pour le linge, la vaisselle, de faire des bons rinçage à l'eau "courante". Mes journée étaient toujours très rempli. Alors quand je vois ces personnes qui soufre, je pense à une place sur un terrain en Guyane. Je pense qu'en créant une association à plusieure, qu'on pourait facilement obtenir un terrain là-bas, je connais des modalités qui nous permettrai d'être en régle, et ensuite, le tous serai que les membres de l'asso,créé un contact avec toute les personnes qu'on voit sans abris, avec le dialogue, si on peu arriver à persuader quelques une qu'ils seraient mieux là-bas, ce serai un peu de bonheurs, vous ne croyez pas. Que sur le terrain ou même les terrain, des membres soient présent, pour les aiders, pour faire un soutien, et peut-être qu'en se sentant mieux, dans la nature, peut-être déjà qu'ils seraient plus heureux, et déjà ils ne soufrirai plus.
Des idées je suis certain que beaucoup d'entre vous n'en manquerai pas, alors j'espère qu'on va essayer ensemble de faire quelques choses, car j'en ai vu qui sont agée, sa me retourne, et je les imaginerai volontier, le soir mangeant un bon plat, avec du poisson pêché dans la rivière, chacun pour la nuit dormira tranquil dans leur hamac, et surtout au chaud.
J'espère vous dire à bientôt, aidons les car je ne crois pas aux mesures actuelles.
 

CabanesRedac

Modérateur
Membre du personnel
Modérateur
Membre vérifié
Inscrit
28 Mai 2007
Messages
1 067
Points
45
Localité
12 et 974
Site web
www.les-cabanes.com
Salut et bienvenue,

quel hasard. Je parlais exactement de ça aujourd'hui, devant une Dodo avec un gars qui à vécu en Guyane -entre autre-, mais cela reste son meilleur coin outre mer.
Il expliquait que l'on attribue gratuitement des concessions pour des gens qui souhaitent entretenir un coin, un carbet. cela dit il faut être un peu Zyké pour cet endroit. Si tu envois certains sans abris qui sont, quelques part, en communauté dans la rue, dans un carbet sur le fleuve:
"Salut tiens ça c'est ta pirogue, ça c'est un Tohatsu 25 CV la case est à 5 heures en amont 3 ème à gauche. Pour rentrer tu auras pas besoin de clé ya pas de serrure." :D

La vache il vont prendre un sacré flash mr Green.
Dans l'idée c'est top. Mais il faut le tempérament bien trempé pour l'Amazonie. AMHA.
 

gaucho

Constructeur
Communauté des cabanes
Inscrit
12 Avril 2009
Messages
10
Points
0
Bonsoir,
Il y a de tous en Guyane tu sais, mais il est important aussi de s'enlever certaine idée trop négative, comme les bêbêtes, je n'ai jamais eu d'accident avec un animal et ayant surtout travaillé en forêt sur des site d'orpaillage, je sais que ce n'était pas la préocupation principal et le plus gros danger, plutôt craindre le bipède. Cela dit concernant la faune, il est évident qu'être prudent préserve, et je crois qu'il est nécessaire d'apprendre et d'être humble, et maintenir un terrain propre par exemple, sa évite d'avoir des serpents qui se balade, mais ce n'est qu'une précaussion parmi....
Tu sais à propos de Zyfié qu'il a eu des ennuie pour des affaire d'orpaillage, mais beaucoup trempent et s'en sorte très bien, donc reste à en tirer des conclusions.
Concernant l'insécurité, c'est dans ce secteur que sa se situe, et après il y a des actes isolé sur des villes, mais on peu pensé que tant que l'orpaillage sera accessible aux garimpeiros, trafiquant, groupe mafieux, et à toutes les petites mains qui font vivre leur famille grace à un boulot de piroguier, de chauffeur, etc... alors le gros de la criminalité restera concentré sur l'orpaillage.
Pour ce qui est de vivre sur un terrain, l'info que tu as est exact, car il y a un bail par exemple qu'on peu avoir en demandant à l'ONF, et louer des parcelle de 2000m² à 5000m², pour 0,08€ le m² et par an, soit pour 5000m²=400€ par an.
Mais il y a des solutions plus intéressante encore en fonction de l'idée, et projet, au niveau des asso par exemple, on en parlera si tu veux?
Maintenant quant à la vie même sur les terrains, c'est bien sûr un apprentissage pour des hommes qui vivent dans la rue, mais ils restent des hommes et même si je suis conscient que certain refusent tout dialogue, mais d'autre peuvent voir là un espoir de faire quelques choses eux même pour s'en sortir et pour aider les plus fragil, c'est valorisant, car c'est d'une terre qu'ils doivent s'occuper et qui leur donnera une réponse positive en échange.
Pourquoi je parle de créer une asso, car mon idée est de leur fournir une domiciliation, pour leur courrier, leur démarche administrative, sécu, rmi déjà, et pour leur permettre d'avoir un toit, et un coin d'intimité, je sais que des carbets sur un terrain sa ne coûte pas cher à construire, car d'une part les matériaux sont dans la forêt, et il n'y a pas les problèmes lié aux température basse qu'il y a en métropole. Ensuite, pour se laver, c'est dans la crique, pour laver son linge idem, et en forêt, une barre à savon c'est ce qu'il y a des lieux.
Question nouriture, je répête un peu mon premier message, mais filet de pêche le soir = poissons pour le repas du landemain, et niveau fruits et légumes, il y a tellement de vériété en Guyane!
Pour les autres produits, la base de l'alimentation, c'est riz-haricot rouge, et ça c'est à acheter en gros sur le Surinam ou au Brésil, car bien moins cher, et c'est pareil pour le café, sucre, sel, barre savon, tabac et alcoll, car je sais que faut pas rêver, mais il y a probablement un soutien à avoir de ce côté là.
Donc, le terrain permettrai surtout aux gars de savoir quils ont un chez eux, c'est important. Je ne parle pas de les "enfermer" sur le terrain. Mais ceux qui vont en ville pour des achat, ou des papiers, courrier, et toute autre raison, le tous c'est qu'ils savent qu'ils y a un terrain où ils ont leur carbet, une gamelle sur le feu, et des collègue.
Tu sais dans ce cadre, tu vois la vie différement, et je serai pour dire, que si certain n'y voit que l'oportunité d'avoir un toit sur la tête, mais je pense aussi que d'autre se prendront de passion peut-être, en cultivant les légumes, en faisnat des semi, en plantant des arbres fruitiers, la pêche, la construction des carbets, il y a toujours à faire, et celui qui se prendra dedans, aura trouver un sens à sa vie, enfin c'est mon avis.
Des variété de bois magnifique, peuvent permettre de sculpter, de créer des objets, et pourquoi pas organiser des ventes, comme des ventes de fruits et légumes, avec des poules, on peu vendre des oeufs, probablement tu connais les toitures en bardeaux, en Guyane, on tire les bardeaux dans un arbre qu'on appel le wapa, c'est un jeu d'enfant, et les bardeaux sa se vend bien. Sans parler de couper des wapa, mais en tirant sur ceux qui sont déjà au sol, car en plus se sont les mieux pour travailler, il y a aussi de l'occupation et une petite source de revenu.
Comme je l'ai dit sur l'autre message, en se mettant sur ce projet à plusieurs, tous apportera des idées au fur et à mesur, et tu sais, si on peu aider des hommes à vivre mieux, il se peu que par la suite, se soit des hommes qui vont défendre leur terrain, je veux dire par là qu'il protégeront leur forêt.
Tu sais je sui rentré en Guyane en accompagnat des gars qui avaient des site minier, mes premier pas en Guyane, c'était pour l'or, et dès que je me suis instalé sur le premier terrain, ma tête à viré de sens. Je n'ai plus vu la forêt pour l'or qu'il y a dessous, mais pour la richesse qu'elle est, et j'ai vécu différement, pour finir complétement à ne plus bosser sur des sites. Alors je pense en effet, que des types à qui ont peu proposer ça, certain s'investiront vraiment dans leur nouvelle vie. Je trouve ça plutôt valorisant tu sais de vivre avec la nature.
J'espère que ce message sera entendu et ensemble on peu essayer de créer quelques chose qu'on maitrise mieux que des grands discours, car l'hivers prochain on entendra les mêmes refrain, ont verra les mêmes politiques de l'oposition se scandalisé accompagné d'acteur, chanteur, écrivain et j'en passe, mais si un petite poigné que nous sommes, on s'uni et on s'investi, on peu sortir des gens de cette situation, il faut se donner les moyens et y croire, ensuite c'est sur le terrain qu'on sera éfficace. Moi j'y crois, alors j'espère ne pas être le seul.
J'arrête là, mais je vous attend pour pourssuivre et des info, et commencer à réfléchir à tous ça, et voir comment mettre les idées au concrêt.
Je vous dit à bientôt, Gaucho
 

gaucho

Constructeur
Communauté des cabanes
Inscrit
12 Avril 2009
Messages
10
Points
0
Oui, mais le bagne est occupé par les touristes, les cellules sont ni rasées, ni entretenue, c'est désolant de venir se prendre en photos devant des lieux où des hommes ont soufert, et la traverssé est payante!
Alors laissons les beaux quartiers, et autant vivre plutôt dans la nature tu ne crois pas.
Et puis, quand on vie en forêt, on a tendance à vouloir la protéger, et en l'occurence en Guyane aussi c'est une partie de l'Amazonie qui va avoir du mal à repousser à force de la mal mener.
-Je pense aussi à des populations Amérindiennes qui vivent encore dans des zones enclavé, et qui subissent les dégats causé par des activité de plus en plus proche de leur village, finalement si on compare ces 2 modes de vie, celui des hommes quittant la rue en métropole, où des centaines de gens par jours leur marcherai presque dessus, et partant vivre en forêt en Guyane, de leur pêche de leur culture, serai t'ils si différent de leur voisins Amérindiens. J'ai autant de respect pour les uns et pour les autres, et suis certain qu'ils se vallent et serai peut-être plus apte à défendre cette partie d'Amazonie que nombreux représentant écologique.
Je vois que l'idée ne te laisse pas indiférent, et j'espère que tu vas aussi avoir envi de faire quelques choses dans le bon sens. Tu as certainement des idées pour améliorer le projet, elles sont les bien venu.
alors je te dite à très bientôt, parles en autour de toi, que peut-être on pourra faire quelques chose. Gaucho
 

CabanesRedac

Modérateur
Membre du personnel
Modérateur
Membre vérifié
Inscrit
28 Mai 2007
Messages
1 067
Points
45
Localité
12 et 974
Site web
www.les-cabanes.com
Une reco

Je recommande le post,:cool: merci Gaucho, bien joué dans l'esprit cabane, expliquer qu'un ailleurs est possible si l'existant et le quotidien est un peu trop lourd. Et sans tomber dans l'image du Caboclo farçi à la Cachaça.
Voilà on réalisera un relais de ton idée et de ce sujet en page "robinsons" car là ça commence à être documenté et explicite.

Normal que pour la discu il y ait des avocats du diable
lambertini a dit:
:D pourquoi pas refaire le bagne, pour y envoyer les sdf :?
 

jim

Membre d'honneur
Communauté des cabanes
Membre vérifié
Inscrit
4 Mars 2008
Messages
225
Points
20
Localité
Canada, Vancouver
Les concessions sont peut être en soi une soluce, mais les normes jugulent tout. C'est comme les bagnoles, avec le contrôle technique bientôt qui pourra rouler en touchant moins que le smic?
On peut refiler des bouts de terrains pour un Habitat alter mais si c'est pas aux normes çà sera pointé du doigt.

Bref l'étât providence est mort l'étât pseudo sécuritaire est là c'est moins cher, et en plus ça rapporte. Pseudo car tout sera fait pour limiter les risques mais en cas de pb tu peux t'accrocher aux urgences.
 

gaucho

Constructeur
Communauté des cabanes
Inscrit
12 Avril 2009
Messages
10
Points
0
Salut Jim, salut rédac-cabane,

Je répond à Jim, à la suite je met une question pour rédac-cabane.
Jim, ne m'en veux pas mais je ne comprend pas tout à fait le sens de ta réponse, enfin il se peux que je n'ai pas tout compris, si c'est le cas, juste je te demande d'essayer de m'éclairer un peu.
-Concernant les normes, je crois comprendre ce que tu veux dire, mais tu sais certainement aussi qu'il y a certaine règle à respecter en forêt.
Sincèrement la vie est très agréable sur un bout de terrain, où on peu vivre quand même beaucoup plus tranquille que sur un bout de trotoire, ou même que dans du béton. Mais on ne peu pas aussi y faire n'imprte quoi, et là je trouve normal, par exemple qu'il y ai des comptes à rendre sur les arbres abatus. De même que sur les constructions, on peu se faire des super carbet en bois avec tous les matériaux qu'on dispose au allentours, certain couvre leur carbet avec du plastique, d'autre avec des tôles, c'est leur affaire, personnellement je trouve que les toit traditionelle en way ou en bardeaux c'est plus logique dans le contexte. Mais si on autorise tout il y aura des carbet qui ne seront plus des carbets, et je crois qu'à ce niveau il faut mettre des normes.
-Concernant les bagnole et les contrôle technique, est ce que tu peu être plus précis dans le message que tu veux me faire passer, car je ne trouve pas le rapport avec l'origine de mon post, qui est sur la possibilité de vivre très bien en forêt en Guyane, je l'ai vécu plusieurs années, d'autre aussi, et lorsque je vois des gens qui vivent dans la rue ici, je ne peu pas m'empêcher de penser qu'ils serai mieux là-bas, où il fait chaud, où les possibilité des pêcher, de cultiver sur un abatis, leur permettrai de manger convenablement. Voilà en résumé mon premier post, et je cherche des gens qui seraint intéressé pour qu'on mette en place des asso, et en rapportant tous chaccun des idées, qu'on fasse dans le concrêt pour sortir des gens de la rue. Il faut voir que c'est seulement une idée de base, et que comme toute idée, sa se travail, et la raison pour laquelle j'ai proposé l'idée, c'est parceque je sais que des gens vont lire, et cogiter et certain vont rapporter des idées de géni, et c'est en se regroupant, en rapportant des idées, qu'on peu arriver à faire quelques chose pour ceux qui en ont besoin.
-Pour le fait d'être pointé du doigt, je veux bien même prendre des coups, si c'est pour la bonne cause, et là en l'occurence c'est pour aider des gens qui soufre, donc je veux bien me faire taper dessus, mais si on agit bien, il est peu probable qu'on en vienne là. Je ne veu pas faire de la provoque, mais juste être efficace, et je fait confiance aux personnes qui se promène sur ce forum, je suis certain que nombreux sont ceux qui en donnant une pièce à quelqu'un dans la rue, reste sur leur faim de ne pas pouvoir faire plus, et c'est peut-être l'occasion d'y parvenir, et c'est pas un solution éxessivement coûteuse.
Jim, tu es sur le Canada, mais même si tu ne peu pas participer à la création d'asso, faute d'être loin, mais toute tes idées seront les bienvenu, et tu peux nous aider déjà en nous soutenant, en apportant des idées, et le jour où sera créé une première asso, tu seras le bienvenu en adhérent, et en donnant un peu de ton temps aussi. Du Canada, la Guyane, c'est à côté!
Donce en attendant de te lire prochainement, je te souhaite une bonne soirée, et merci our ta réponse et ton soutien, Gaucho
Rédac-cabane,
Je te remerci pour ta réponse et pour ton soutient, est ce que d'après toi je dois poursuivre sur "robinsons"?
Si c'est le cas, je vais poster un teste identique en expliquant que le début est ici, que conseilles tu?
-Tu as raison pour la cachaça, mais certain se font plaisir et puis quand il y a les citrons sur les arbres, smais e faire un appéro en bord d'une crique, c'est quand même plus sympa que de boire sa cantette sur un bout de trotoire.
J'attend ta réponse pour savoir où je dois continuer, et pour des doccument et des explication, même des très précise concernant la vie sur un terrain, l'organisation, l'abatis, les dangers, et les plaisirs, je peu expliquer plusieurs chose de façon précise.
Je te remercie, à bientôt de te lire, Gaucho
 

nathan

Membre d'honneur
Communauté des cabanes
Membre vérifié
Inscrit
24 Février 2009
Messages
288
Points
20
Localité
Paris et ailleurs
Salut gaucho instructif ton expérience. J'imagine que ton vécu est super là bas et que l'on peut faire un tas de truc. Mais quels sont les réactions de gens fragiles en pleine Amazonie :confused:
Restent ils zen :confused:
 

gaucho

Constructeur
Communauté des cabanes
Inscrit
12 Avril 2009
Messages
10
Points
0
Salut Nathan,
D’abord merci pour ta réponse, de montrer un intérêt pour ce sujet, et éventuellement pour le projet, si peut-être tu as aussi dans l’idée de participer à la création, la mis en place sur le terrain, et la suite…
D’une façon certaine, en effet on peut faire tout un tas de truc dans le respect de l’environnement.
*D’abord tout commence par trouver l’emplacement du terrain, sur une idée de base, ensuite il faut prospecter. Trouver l’emplacement idéal, c’est quelques point à vérifier comme : Accessible en pirogue d’un dégrade en saison sèche et en saison des pluies. Proximité d’une crique permanente, c'est-à-dire où l’eau reste clean toute l’année. Terrain en pente, et non inondable et saison des pluies, pas de trou car ce n’est pas top non plus en saison des pluies, une pente, même légère c’est l’idéale, et surtout sans risque de grosses activité en amont.
Tu sais déjà quand on en est là, même si ce n’est que le commencement, mais il y a un certain enthousiasme de faire cette prospection. Durant cette période la vie se fait en campement de base, il faut se déplacer, reconnaitre le coin, c’est sympa, et surtout on commence à s’imaginer comment sera la nouvelle vie dans cet endroit. Je crois déjà à cet instant on a envi de protéger cet environnement, c’est logique.
*Ensuite préparer la zone où on voit le mieux les constructions des carbets. (Déboisement de la zone, et sur un périmètre dangereux tomber les arbres pouvant s’abattre sur le terrain.
Beaucoup de coupe, de nettoyage, faire des layons, dégager un bel accès en bord de crique, car c’est là où on a souvent besoin de prendre de l’eau à boire, pour cuisiner, pour se laver, laver la vaisselle, le linge, donc c’est une des priorités, même si c’est provisoire, mais un accès pratique, propre c’est important.
On fait ce travaille en début de la saison sèche, car déjà plus agréable pour nettoyer, et surtout en fin de saison sèche, on brule tous ce qu’on laisse sur place.
Dans la partie nettoyage, il y a de la récup de bois, qui vont servir à la construction, mais en principe on les utilise pour améliorer un premier carbet lui aussi provisoire, car tu l’as compris, on ne commence les constructions définitive qu’après le brulis.
Après tout ce travail, car bien sûr c’est du travail, mais à chaque fin de journée, tu es content de regarder ce que tu as fait, tu es déjà en train de planifier la journée de demain, et tu continue à imaginer ta vie sur ce terrain, quel arbres que tu mettras ici ou là, le manioc ici, des hibiscus par là, les ananas ici, les papayers, ici et là et encore ici, des tonnelles pour les maracuja, des supports pour les sorossis, les carbets construit dans quel sens, d’où vient la pluie, et quelle place tu vas mettre ton hamac qui te permettras d’avoir la meilleurs vu sur ton petit univers le matin quand tu vas ouvrir les yeux, et puis un autre endroit pour faire la sieste en saison sèche…
Alors tu comprends bien, que c’est avec une certaine fierté aussi que tu vois évoluer ce que tu fais, et je crois que pour beaucoup d’entre nous, c’est très valorisant, construire, bâtir son habitat avec des matériaux pris sur l’endroit même ou un peu plus loin en forêt, et je suis certain que sa le sera autant pour des hommes qui à un moment donné de leur vie, ce sont senti un peu ou beaucoup exclu, pour toute les raisons qu’on a à s’imaginer selon le vécu de chacun et ce qu’on connait.
Cet endroit que tu auras réalisé de tes mains avec ton imagination, il va devenir sacré dès les premières goutes de sueur, et tu vas l’aimer, alors tu vas vouloir aussi le protéger, et les locaux le savent, alors quand ils sont de passage, ils s’annoncent, c’est une politesse, une marque de considération. Très vite d’ailleurs tu as des première visites, on fait les présentations et on boit un coup ensemble, c’est conviviale, on échange des mots, des idées, et très vite on te propose le coup de main, et si t’as un souci je suis à tel endroit, et les marques sont posée, le respect aussi, car l’homme qui connaît ce travail, toute cette préparation et le plaisir d’avoir fait son abatis, reconnais l’homme qui bâtis de ces mains, et on le respecte.
Tu vois c’est aussi ça qui te fait avoir encore plus de plaisir à être dans ce genre d’endroit, car tu partage ce plaisir avec des voisins occasionnelle, c’est sympa.
Ne crois tu pas que des hommes qui aujourd’hui ont une autre vie, souvent très triste ne vont pas s’attacher aussi à tout cela, moi j’en suis certain, même si en même temps je reste réaliste, car là-bas on dit une chose qui est vrai, la Guyane, on déteste où elle te prend pour toujours. J’ai rencontré ici des gens qui vivent très mal, car la Guyane, qu’ils ont connu reste dans leur rêve, il la revoit, la revive.
Mais j’ai aussi rencontré des gens qui m’ont dit qu’ils n’y mettront plus jamais les pieds, et c’est catégorique !
Je sais donc que pour le projet, il y a une préparation, connaître les personnes qui souhaite partir, car ce n’est pas parce que un type fait la manche, qu’il n’a pas envi d’avoir un coin de terre à travailler de ses mains, y être tranquille, et le reste c’est sur l’accompagnement, le groupe, l’organisation, et tous ce que nous on mettra en place pour mener à bien notre objectif, qu’on augmentera les chances de faire quelques choses de bien et en limitant les problèmes de toute nature d’ailleurs.
Mais en même temps, il faut compter sur des soucis, de toute évidence qu’il faudra être solidaire plus que jamais, et bien sûr, je sais que des personnes fragiles auront aussi leur place dans la nature.
C’est déjà ce que je veux te répondre, en me basant aussi sur des faits de connaissance. Quoi qu’il en soit, dans le projet, les hommes gagnent en liberté physique et d’esprit, c’est très important, et pas l’inverse, il n’est pas question d’avoir un mur de végétation qui fasse office de barreaux, le terrain est en forêt, et on a plaisir à aller se promener sur des layons, en groupe, ou si on a besoin de s’isoler, alors il suffit de rencontrer un groupe de coati, et les idées noirs laissent la place à une profonde contemplation, les animaux ne trahissent pas, souvent les personnes qui ont touché le fond le savent. On peu prendre un canoë, et se laisser glisser sur les cours d’eau, c’est le bonheur de se sentir libre dans une telle immensité, et je crois que sa peu être bon pour des personnes fragile.
Mais aussi on peu avoir besoin d’aller en ville prendre un bain de foule, ou se plonger dans ce qu’on veut, mais après on peu aussi faire le point et penser à notre présence ici, et je crois que certaines personnes fragile peuvent avoir la tache plus facile, en particulier du fait de ne pas être seul.
Et prend en considération ce que je te disais plus haut, la satisfaction de réaliser son habitat, sa se passera en groupe, et donc quand on construit ensemble quelques choses d’important, comme c’est le cas puisqu’on parle de l’habitat du groupe, il est évident que des liens sont fort, et la solidarité entre personnes se renforce aussi. Quand on ne peu pas faire quelques choses seul, et qu’en groupe on y parvient, c’est aussi aux autres qu’on le doit et vers qui ont se tourne quand on en éprouve le besoin.
Sans forme de hiérarchie, on peu se poser autour d’un feu le soir, et on discute, on chante si on en a envie, on partage un repas, je crois que sur un plan individuel sa a son effet.
Et puis je vais te dire un truc qui va peut-être te paraître con, mais j’ai cette expérience personnelle. A force de ne plus être dans ce monde de consommation de communication, d’aberration, tu gagnes en bien être.
A l’inverse, je suis ici maintenant, et je suis certain que resté trop longtemps, je pourrai commencer à devenir aigri juste en écoutant des informations, et comme tu le sais la communication est à un telle point forte, que tu en es gavé, même sans TV ou radio.
-Aussi concernant donc ta question à propos des personnes fragile, et si ils restent zen. Dans fragile il y a des degrés, et rester zen, peux tu me dire plus précisément ce dont tu penses, si tu crois que par respect du site et de la rédac, que c’est plus convenable de parler hors site des points autre que les côté technique de l’installation, qui ont leur place dans cette rubrique, voici mon mail : gaucho-973@live.fr
J’espère ne pas t’avoir trop saoulé, et pour le coup, je vais arrêter là pour l’instant, mais je souhaite qu’on va continuer, et que ce projet, on va le travailler ensemble, à nombreux, et qu’on va passer à la phase concret aussitôt qu’on sera au point.
Pour info, j’ai prévu le départ pour septembre-octobre, si tu es intéressé, mais ce sera surtout pour la localisation. J’ai un coin en vu, il faut passer quelques temps sur place pour vérifier certains détails dont je t’ai parlé, et en fonction comment les choses seront évolué, et le nombre de personnes dans le coup, une parti restera là-bas en permanence pour le préparation, et sur d’autre front, il y aura tout un travail au niveau associatif, et c’est aussi important.
Donc sa laisse le temps de réfléchir, que chacun apporte des idées, de vérifier les cohérences, etc…
Je t’envoi donc cette réponse, et j’espère te lire bientôt, je te souhaite une bonne fin de journée, Gaucho
 

lambertini

Robinson
Communauté des cabanes
Inscrit
9 Avril 2009
Messages
41
Points
0
Localité
normandie
salut, il y a assez de miseres en outre mer, pas la peine dont importé.
les sdf , baucoups sont malades, alcool, , il faut les aidées sur place ou ils ce trouve, logement , travaille, ect, tout le monde doit avoir une place dans la societé, ce qui detruit tout c est le profit ,et la rentabilité..
pour vivre en brousse, il faut , une bonne santé, et un bon morale,(etre bien dans sa peau la vie en guyane est dure , je connais jy ai passé 5 ans
(legion)
 

nathan

Membre d'honneur
Communauté des cabanes
Membre vérifié
Inscrit
24 Février 2009
Messages
288
Points
20
Localité
Paris et ailleurs
Je pense également que c'est un contexte très éprouvant. Il faut avoir l'esprit réellement à ça. C'est pas donné à tous le monde.
 

gaucho

Constructeur
Communauté des cabanes
Inscrit
12 Avril 2009
Messages
10
Points
0
Salut Lambertini,
D’abord merci encore de t’intéressé au sujet. Même si ton avis est défavorable à ce projet. Je pense que les avis contre, aide à affiner, car souvent sa permet de voir des choses qui nous ont échappé, en l’occurrence ce n’est pas le cas, mais je suis content que tu t’intéresse, car en discutant, peut-être que tu verras les choses autrement !
Dans l’immédiat, pour le bavardage, je veux aussi te donner mon point de vu.
-Concernant l’alcool, tu sais comme moi je pense que parmi les personnes soufrant de dépendance d’alcool, il n’y a pas que des sans abris.
Je te propose, puisque tu en parles, d’aller plus loin dans la réflexion, en commençant par exemple, à te renseigner auprès des Alcoolique Anonyme le plus proche de ton domicile, sur l’origine des personnes qui viennent demander de l’aide. Tout comme dans les centre de désintoxication, il y a des gens de toutes catégorie, toutes classes sociale, des jeunes, maintenant même des très jeunes, des hommes des femmes, certains ayant encore un emploi, d’autre non, certain sont encore accompagné de leur proche, d’autre moins, mais sur le nombre, ils te diront qu’il n’y a pas de sans abris, et c’est un drame aussi.
Je veux dire par là, que parmi les personnes soufrant d’alcoolisme, il n’y a pas que des sans abris, c’est un fait. Et donc parmi les sans abris, il n’y a pas que des alcooliques.
Maintenant je vais te donner un autre avis, pour des hommes qui ont une dépendance, je ne crois pas qu’il soit bien de les exclure d’un système qui peu être favorable pour eux.
-J’en viens donc à te parler des personnes qui sont sans abris. Vois tu il y a eu un temps où les personnes ayant mauvais font, aurai pus qualifier entre autre de trainard, mendiant, etc.… toute personnes vivant dans la rue, mais aujourd’hui les choses sont complètements différente, car beaucoup de personnes se retrouve dans la rue à cause d’un accident de parcours.
Si il y a des gens qui sont plus à l’abri de subir cette dure réalité, mais pour d’autre c’est l’inverse, un petit grain de sable peu tout retourner leur vie, et du jour au lendemain se retrouver en bas sur un bout de trottoir.
Vois tu cette Jungle là, n’est pas la Selva de Guyane, mais elle est aussi hostile pour des gens non préparé et sans défense, comme en Guyane, comme en Amazonie. Personnes ne va aidé les nouveaux venu dans ce monde de la rue, et parfois ce sont des gens qui ne touche pas une goute d’alcool, qui sont en parfaite santé, mais là ce n’est pas dit qu’il ne ressente pas très vite le besoin de se boire un petit verre de temps en temps, pas par vis, mais d’abord pour mieux supporter le contexte dans lequel il se trouve depuis qu’il c’est fait foutre dehors de son appart qu’il n’arrivait plus à payer.
Alors si ensemble on arrive à mettre un projet sur pied, et bien je serai fier de voir ces personnes vivre sur leur petit bout de terre en Guyane. Car avant tout, cette terre est aussi en France, comme le bout de trottoir où ils se gèlent en hivers.
Ne préfères tu pas voir un gars vivre sa vie heureux que de devoir un jour regarder le pauvre gars qui fait la manche en bas de chez toi depuis des années, raide gelé un beau matin !
Enfin, toujours concernant les personnes dans la merde aujourd’hui, je vois aussi des personnes âgée, faire les poubelles pour se nourrir, personnellement je ne trouve pas normale que ces mêmes personnes âgées, qui ont quand même bossé très dure pour rebâtir le pays après la guerre, qu’ils soient à ce point oublié et réduit à devoir faire les poubelles pour manger. De même tu dois prendre conscience que certain sont aussi sans abris.
Alors oui, il y a peut-être trop de misère en Outre mer, mais ici aussi, et si des gens arrive à ce démerder à vivre avec leur propre moyen de subsistance, en grattant leur bout de terrain, en allant pêcher, en fabriquant de l’artisanat, etc.….
-Je ne parle donc vraiment pas à aucun moment d’exporter de la misère, mais bien sûr de permettre à des gens de vivre de façon convenable dans la nature en les aidant à y parvenir, et en aucun cas de leur proposer un bout de trottoir à Cayenne à la place de celui qu’ils ont ici.
-Je vais te parler d’un truc que peut-être tu as entendu parler durant ton séjour Outre-mer en Guyane, principalement si tu as été proche de la population Brésilienne.
Au Brésil il y a un mouvement tristement connu, c’est le MST, rien à voir avec les maladies cabanesuellement transmissible !!!
Le MST, c’est le mouvement des sans terre : C'est-à-dire que ce sont ni plus ni moins des sans abris. Ils n’ont pas d’endroit pour vivre. Ce qui est triste quand on sait que la moitié du Brésil appartient à 2% de la population.
Alors ce MST, qui politisé, n’ont pas d’autre choix que de s’approprier des terres, je ne vais pas m’étendre sur ce sujet, qui pourtant intéressant, on en reparlera si sa intéresse quelqu’un, car sa mérite qu’on en discute.
Mais les terres qu’ils envahissent « officiellement », légalement, car c’est avec une loi qui à été créer, cette loi c’est la loi d’invasion. Elle autorise des gens sans terre à envahir les terres des riches propriétaires terriens qui ne déclare pas tout aux impôts, si cela est vérifié, preuve à l’appui.
Tu imagine que ce genre de loi au Brésil, sa fait beaucoup de mort avant que les sans terre réussissent à prendre possession définitivement de la terre. En principe dès la présence des médiats, ils ne se font plus assassiner ou un peu moins.
Je te parle de ça, car ces personnes sans terre au brésil, arrivent péniblement à avoir un bout de terre pour vivre sans avoir rien à demander rien à personne, car c’est important pour eux, grâce à leur ténacité dus au désespoir, leur combat, mais aussi grâce à du soutient d’autre personnes.
Dans le projet, ce n’est pas des terres des riches propriétaires terriens dont je parle, se n’est pas non plus une formule d’envahir, mais ce sont des terres sur le domaine de l’état qu’on ira louer légalement, j’insiste encore, en payant un ou des loyers. C’est aussi dans l’idée que tout citoyen à droit à un bout de terre pour en faire son habitat, en cabane, carbet, yourte, et je crois que refuser cela à des gens qui n’ont rien, est limite criminel, lorsqu’on sais que certain finissent par mourir sur un bout de trottoir.
Je pense que tu peux essayer de comprendre le sens de ce projet, on aura besoin de personne pour soutenir en premier, les gens qu’on aura reconnu comme étant les plus disposé et les plus forts, qui partiront d’abord.
Sur place, il y aura des personnes qui auront préparé la base du terrain, des départs de structure, les premiers carbets entre autre. Ces premières personnes qui vont s’investir les premiers, nous aideront à accueillir les prochains arrivants. Ce seront eux leur meilleur soutient, car là, c’est surtout une question d’homme et de solidarité.
Quand il n’y en a pas dans un univers hostile comme les rues des grandes villes, je suis certain que le soutien moral et physique sera spontané lorsqu’ils travailleront ensemble pour leur bien être.
En tant qu’ancien Légionnaire tu sais très bien que les hommes se soutiennent, car les Légionnaires sont des bâtisseurs, tu ne l’ignore pas. Donc tu n’ignores pas non plus se que vous avez ressenti tes camarades et toi quand vous avez accompli le nettoyage d’une borne sur la zone sud Guyane, et que vous avez vu apparaître les couleurs du 3em REI, et ce après un mois d’effort de marche en forêt profonde. Sa ne se passe pas sans douleur, mais il y a la satisfaction de la réussite et du courage à travailler ensemble plus que jamais pour nettoyer cette borne.
Cela dit, en l’occurrence ce n’est pas une mission profonde, pas non plus un stage au CEFE à Régina, mais juste faire un abatis, des carbets, et entretenir ce qui a été fait.
Il y a des femmes, qui ont vécu ainsi, et peut-être elles sont encore sur leur terrain. Même si elles ont reçut des coups de mains, mais elles savent vivre ainsi.
Je sais que beaucoup exagère la Guyane, sans doute pour montrer qu’ils ont vécu, et même survécus en traversant les pires moments de leur vie…en Guyane.
Mais c’est d’abord une question de prudence, être humble. Je n’ai jamais eu un seul problème, ni de jour, ni de nuit, et je ne suis pas le seul qui n’a jamais eu de réel problème.
Il y a des métros qui vivent sur leur terrain en forêt en couple, avec des enfants, qui suivent leur scolarité par le CNED, et ce ne sont pas des fous furieux, et les enfants sont super équilibré, ils vivent heureux dans la nature, c’est formidable, ils ne se prennent pas la tête avec du superflu et comprenne la vie avec les choses de bases, ils l’apprécient surtout leur vie.
Donc je veux juste t’expliquer, que je sais d’une façon certaine que l’hostilité légendaire, n’est pas en Guyane pour empêcher des hommes de vivre heureux dans la nature, et sans crainte des dangers, tout aussi légendaire.
Par contre c’est du pure bonheur que de vivre dans cet environnement, de construire son carbet, de nettoyer le terrain, de faire son abatis, d’aller le soir à la pagaie poser le filet de pêche et d’aller le lever le lendemain matin au levé du jour, quel spectacle le levé du jour sur la rivière.
Question d’impression, je dors plus tranquille la nuit dans mon hamac sous le carbet, qu’ici dans la rue, c’est une certitude, mais c’est d’abord un choix qui est le mien. Mais quand je parle de ce problème aves des personnes qui vivent dans la rue, ils ont peur, et sa me fait quelques choses de voir des hommes, costaux qui me disent avoir peur quand ils dorment, mais je les comprends.
-Enfin je pense que pour des raisons qui sont humaines, tu peux aussi être très utile dans ce projet pour toi et pour les autres.
Car tu n’ignores pas non plus que dans la rue, parmi les sans abris, il y a aussi des ancien Légionnaires qui ont pus avoir des accidents de vie, ils ne sont pas non plus malade, et pas forcément dépendant d’alcool.
Je pense que tu serais heureux de pouvoir leur tendre la main, et à ce moment là d’avoir une structure sous ton coude, pour les aider à sortir de galère en leur proposant en plus d’un abri, un habitat et du soutien.
Légionnaire un jour, Légionnaire toujours, tu connais forcément tes codes d’honneur :
Code d’honneur du Légionnaire :
-2)
Chaque Légionnaire est ton frère d’arme, quel que soit sa nationalité, sa race, sa religion,
Tu lui manifestes toujours la solidarité étroite qui uni les membres d’une même famille…

Code d’honneur de l’ancien Légionnaire :
-2)
Chaque ancien reste mon frère d’arme, quel que soit sa nationalité, sa race, sa religion
-3)
Je lui manifeste toujours la solidarité qui doit unir les membres d’une même famille
Ancien Légionnaire, n’oubliez jamais que vous avez combattu ensemble et pour la même cause.
Ne vous délaissez pas, restez uni pour le meilleur comme pour le pire…
Probablement qu’ancien Légionnaire, si tu participe à ce projet, avec ton cœur tu penseras que peut-être un jour tu pourras aider un ancien camarade qui n’aura pas eu la même chance que toi.
Enfin, en tant qu’ancien Légionnaire, ton apprentissage à la Légion, tes connaissance de bâtisseur, ton soutien moral que as appris durant ton instruction quand tu étais à la ferme aux alentours de Castelnaudary, tu as sut aider tes camarades pendant la Marche Képi Blanc pour que personnes ne craque, tu pourrais t’en servir pour aider ceux qui ont besoin.
Que sommes-nous sur cette terre, pas grand-chose, alors pourquoi ne pas essayer de faire quelques choses de bien pour des gens qui n’ont peut-être plus envi d’avoir de l’espoir.
Lambertini, je te demande de réfléchir à tous ça, et saches que je serai heureux si tu changeais d’avis, et tu es le bienvenu dans ce projet, toi et les idées que tu peux amener pour qu’on fasse vraiment quelques choses de bien.
Je vais arrêter là pour l’instant, bien sûr, j’attends de lire ta réponse quand tu auras pris un moment de réflexion, et si tu ne changes pas d’avis, on continuera d’avancer dans nos vie respective, à chacun son but, car le tout est déjà d’avoir un but.
Je te souhaite une bonne soirée, à bientôt, Gaucho
 

gaucho

Constructeur
Communauté des cabanes
Inscrit
12 Avril 2009
Messages
10
Points
0
Salut Nathan,
Je te réponds séparément, car je veux d’abord te dire que je ne comprends toujours pas ce que tu as voulu dire par personne fragile, mais une chose est certaine, je n’ai pas rencontré en Guyane, des gens se disant amoureux de la nature, qui ont regretté leur séjour ou leur vie en Guyane. Car pour les gens qui aiment vivre avec cet esprit de liberté, alors c’est l’épanouissement quasi-total.
Je laisse une marge d’erreur car, il y a des soucis qui parfois viennent déranger l’environnement tant apprécié, mais là c’est un problème qui est dans les mains de gouvernements.
-Quant à être éprouvant, il est certain que déboiser un terrain, préparer les bois, parfois aller en chercher en forêt, construire un carbet, ne serai ce que se déplacer à la pagaie et marcher en forêt, tout cela est éprouvant et il faut en avoir envi, et avoir l’esprit à cela, et n’est pas donné à tous le monde. Tu as donc raison sur ce point, mais je pense qu’il y arrive un moment où il faut savoir ce qu’on veut dans la vie, et savoir franchir le pas si on veut évoluer, ou faire un changement radical dans sa vie.
-Pour ce qui est de la vie en Guyane, je ne laisserai jamais quelqu’un décourager d’y aller sous prétexte que c’est dangereux.
D’ailleurs, je te propose de te renseigner par tes propres moyens, en faisant de la recherche sur les accidents de forêt en Guyane, et compare ça à la population qui y vie ou qui s’y déplace, et tu jugeras toi-même, c’est mieux je crois que tu te fasses ton propre avis sur la question.
-Pour moi il n’y a pas photos, c’est le genre de vie qui est le plus compatible à toute personnes qui veux se sentir proche de la nature, et qui veux en créant son habitat vivre en quasi autonomie.
J’espère que tu vas réaliser aussi tes projet, et si le notre semble pouvoir te convenir, tu réfléchi, poses des questions, prend des renseignements, et vois ce qu’un tel projet pourrai t’apporter au niveau personnel.
Je te laisse, mais j’espère qu’on va poursuivre bientôt, je te souhaite de passer une bonne soirée, gaucho
 

lambertini

Robinson
Communauté des cabanes
Inscrit
9 Avril 2009
Messages
41
Points
0
Localité
normandie
bonjouir
c est tout a ton honneur de vouloir aidé, nos freres sdf ,.
mais par principe je suis contre tous deplacement des gens,
car c est a chaques villes, a chaque villages de prendre en charge , ceux, que la vie a malmenée,.
il ni a pas que la vie, le systeme aussi est responsable, de la misere qu il fabrique.
.il serait facille, dans ce pays ou l ont trouve des milliards pour les banques,
de construire quelques logements a loyers minimes, dans chaques villes pour nos blessés de la vie
mais ce qui est encore bien plus grave c est que des gens qui travaillent, et qui ont un revenue ne puisent pas ce loger
la seul valeur de ce systéme et le frics, tu doit etre un consomateur docile, et te taire.
je ne dit pas que ton idée n est pas bonne, elle est humaniste.
mais personnelement je n aime pas les deplacement de population
ce n est que mon simple avis.
:D j ai toujour garder certaines valeurs de la legion, pour le reste c est loing 1979/1984
 

gaucho

Constructeur
Communauté des cabanes
Inscrit
12 Avril 2009
Messages
10
Points
0
Bonjour Lambertini,
J’ai lus ton message, et bien sûr je partage ton opinion sur le fait que sa devrai être aux élus de prendre des mesures pour aider les sans abris, et surtout pour faire en sorte qu’il n’y ai plus de sans abris, ni parmi les personnes sans emploi, et bien sûr, encore moins pour des gens qui ont un boulot, un salaire, et qui vivent dehors, c’est inadmissible, et malheureusement c’est bien réel.
J’ai bien saisie que tu n’es pas pour le déplacement des gens, car des mesures devraient être prises là où le problème existe.
Je suis totalement d’accord avec ton résonnement, sauf que les élus des villages, ville, département, région, et gouvernement, ne sont pas très efficace, enfin, certain je pense doivent l’être, mais sa doit être une faible minorité, et qui ont probablement les mains liées ou peur de s’exprimer ouvertement.
Je suppose que sur ce point tu ne dois pas non plus avoir une grande confiance et attente de ces gens placé.
C’est entre autre pour cette raison, que je pense que dans la vie il faut aussi se démerder sans le système, lorsque celui-ci est inefficace.
Dans tous les cas, d’une façon certaine il y a toujours des options qui aident à se retourner ou carrément à vivre autrement.
Et enfin, je crois que par esprit de liberté, rien ne nous empêche de continuer ce que d’autre ont toujours fait, voyager, se déplacer, prospecter les endroits pouvant permettre de s’installer ailleurs si rien ne nous attache, et qu’on croit qu’on peu se vivre mieux dans ces autres contrés.
Le mode de vie que choisissent des peuples nomades par exemple, n’est à mon avis pas exclusivement réservé à ces peuples, et bien d’entre nous sommes pareil, et avons choisi un mode de vie similaire.
Par goût de découverte, entre autre, mais surtout, par esprit de liberté, et aussi peut-être parce que quelque pars, on ne se sent pas heureux dans un système, qui comme tu le dis, où les élus veulent voir un peuple de consommateur docile qui obéissent à ce que leur dictent les médias, entre autre.
Il est vrai qu’à l’origine, je n’ai pas d’attache et j’ai vécu sans m’en créer, ce qui est probablement plus facile pour moi de sortir d’un endroit, et d’aller m’installer ailleurs, et recommencer autant de foi que physiquement je le pourrai, et si cela va de plusieurs années par endroit, il est certain que je me suis attaché d’abord à la Guyane, et à certain lieu plus particulièrement.
Quoi qu’il en soit dans les prochains mois, je vais être en préparation d’un nouveau terrain, changement de coin, car j’aime cette vie, et si je peu la faire découvrir à autre que des touristes, par exemple à des gens qui ont toute les raisons de s’y attacher comme moi je m’y attache, alors tu sais, je serai vraiment très heureux.
C’est une forme de partage avant tout, car ce mode de vie je ne suis pas le seul à l’aimer, d’autre en ont envie, et d’autre le rêve, tu sais, je n’imagine pas qu’on va résoudre un problème.
Simplement je veux faire connaître à d’autre un mode de vie que je connaîs, qui est proche de la nature, où on peu se démerder à vivre avec ce qui nous entoure et se qu’on peu arriver à faire pour se nourrir, par exemple trouver et produire sa nourriture, mais aussi pour s’assurer quelques revenu qui sont malgré tout nécessaire.
Sauf, que je pense que des personnes qui se trouvent dans la rue, aurai là l’opportunité de vivre aussi librement que moi dans cet environnement, plutôt, que de subir un triste sort, que nous connaissons. Nous, ce sont toi et moi, les cabanautes, le peuple, les élus, et aussi les associations qui se sont mis à la charge de les aider.
Enfin, ce projet n’est pas sans une continuité, tu connais qu’il y a des problèmes lié à l’orpaillage, et je pense qu’il y aurai à faire sur ce sujet, mais je ne vais pas en parler à cet instant, car ce n’est probablement pas la place sur ce forum, et d’autre pars, il faut déjà avancer étape par étape, mais je suis certain que des gens motivé pour protéger leur environnement seront là aussi plus efficace pour la défense et la protection de la terre, de la faune et de la flore, que des élus en place.
Aujourd’hui les Amérindiens qui sont dans un état d’isolement ne sont pas écouté, car leur voix ne portent pas assez loin, mais des nouvelles populations qui vivraient en forêt, pourraient quant à eux se faire entendre, d’autant qu’en s’engageant sur des plans associatif.
Je ne veux pas parler trop de tous cela maintenant, car dans l’immédiat je souhaite surtout rencontrer des personnes voulant s’investir dans le projet, et créer des associations, mais je sais qu’il y a beaucoup à faire sur de nombreux sujet, et on en parlera le moment venu, et surtout sans occuper de la place sur des forums si le sujet est hors rapport, respect pour les personnes qui ne veulent pas rentrer dans ce projet.
Je vais arrêter là pour l’instant, mais j’espère que nous aurons d’autre bavardage, car si tu es sur ce forum, c’est que tu es aussi un adepte des constructions de cabane, de vie proche de la nature, et donc nous avons des points commun, et peut-être des idées à s’échanger.
Je te souhaite de passer une très bonne fin de journée, en te disant à bientôt, Gaucho
 

lambertini

Robinson
Communauté des cabanes
Inscrit
9 Avril 2009
Messages
41
Points
0
Localité
normandie
je te rejoind sur certains points, sur les quelles tu a entierement raisons d ailleurs.
je vis en caravane, c est mon choix,
mais un SDF a t il vraiment le choix?? . car avoir le choix est un luxe, les sdf en t ils ce luxe..
pour revenire a la foret, elle n est pas dangereuse, l homme est baucoups plus dangereux.
et j aime baucoup trop la foret, pour il faire venir du monde :D
 

gaucho

Constructeur
Communauté des cabanes
Inscrit
12 Avril 2009
Messages
10
Points
0
Bonsoir LAMBERTINI,
Du retard pour répondre à ton message, je suis resté absent plus longtemps que je prévoyais.
-Je reviens donc sur la discution en cour. Je suis certain que tu as apprécié la forêt lorsque tu y étais, mais depuis les années 80, et en particulier depuis la fin des années 90, la situation c'est dégradé de façon concidérable.
Très long à expliqué en te donnant tous les détails, mais en partie dus à une activité aurifère clandestine, ainsi que tout le trafique qui garvite autourd, la forêt de Guyane, est peuplée actuellement de mauvaise mains. Les intensions étant de piller les réserves d'or, par tous les moyens, et en paralèlle de s'enrichir aussi par tous les moyens, même les plus criminelle.
-Dans ces conditions, la question de l'environement, le déforestation, le massacre de nombreux animaux, y compris les espèces protégers, les conditions de vie actuelles des peuple Amérindien, Wayanas en particulier des villages du haut Maroni, Antécum Pata pour ne citer que lui, ne sont la préocupation de personne et encore moins de l'état comme il voudrai pourtant le faire croire lors des quelques passages de quelques représentant en Guyane, une foi de temps en temps.
-Les Amérindiens, actuellement se font tirer dessus par les piroguiers chargé d'acheminer les tonnes de marchandises vers les sites d'orpaillage, clandestin et aussi des sites déclaré. Ces tire d'intimidations restent pourtant très dangereux car d'armes automatique en direction des villages et des habitants, ces mêmes Amérindiens qui lorsqu'ils vont se faire entendre à la Gendarmerie de Maripassoula, les "autorités" refusent d'enregistrer leurs plaints.
-Le vacarmes des machines et le massacre organisé par des équipes de chasseurs chargé d'approvisionner en viande les sites d'orpaillage clandestin, ont pour éffet de réduire le gibier en proximité des villages Amérindiens, ceux ci devant maintenant se déplacer de plus en plus loin pour trouver leur nouriture.
-lAlors que depuis 2006 l'utilisation du mercure est interdit en Guyane, les sit d'orpaillage clandestin, et quelques site déclaré continue à l'utiliser pour l'extraction de l'or, conclusion, les cours d'eau sont polués par la présence de mercure, les poissons sont empoisonné au mercure, les Amérindiens eux même en consommant du poisson de façon régulière s'empoisonnent à leur tours. (La réponse des ministres concerné ets qu'ils doivent arrêter de manger du poissons, poin finale)
-La zone sud, alors qu'un tracé délimite un parc naturel sensé resté propre! Des orpailleurs sont dessus en toute impunité.
-Quant à la déforestation, des grand expert font des tours d'hélico pour constater l'évolution des activités clandestine, et déclaré, ils observent la forêt qui disparait, mais au jour d'aujourd'hui rien de très répréhensif se passe pour arrêter ça.
-Au jour d'aujourd'hui ce sont des miliers de travailleurs clandestin qui sont employé sur des sites clandestins, et des site déclaré. Quand on voit le nombres de chomeurs en france, et qu'on sait qu'une simple cuisinière est rémunéré à 150 grs d'or par moi, que les garimpeiros payé au pourcentages gagnent de 50 à 80 grs d'or par barnques, compte de 3 à 6 jour pour tirer un baranque, fait le compte et multiplie au taux de l'or actuellement, je crois que sa sortirai beaucoup de gens de la merde.
-Enfin, l'état ne cesse de répêter que les caisses sont vident! Ce sont au minimum 10 tonnes d'or qui partent remplir les caisses du Brésil et du Surinam, alors que les notres sont vide!
-La main d'ouvre, officiellement je ne crois pas qu'il y a plus de 800 employé déclaré travailler sur les sites d'orpaillages, pour des milliers de chantiers en cours d'exploitation, je crois qu'il y a un compte à revoir.
-Voici ma conclusion: Pendant qu'ici des gens n'ont pas de toi, n'ont pas de travail, soufre de leur situation précaire, en Guyane, la forêt est laissé au mains des pillards qui vont la détruire sans aucun scrupule, ça c'est un scandale et un vrai.
Je reviens à un raisonement, tu me diras ce que tu en penses, mais lorsqu'on aime quelques choses, forcément on le défend, lorsqu'on aime la forêt, et si en plus de cela c'est notre lieu de vie, et de survie, qui nous donne notre nouriture, on la défend plus que jamais, comme les Amérindiens souhaiterai faire, mais trop faible en rapport à l'invasion contre laquelle ils devraient pouvoir lutter.
Je vais tous faire pour construire des groupes, qui apprendront à aimer la forêt, et qui en se rapprochant des populations déjà en place et prête à défendre leur environement, arriveront peut-être à virer tous ces parasites, et laisser la forêt reprendre sa place.
Lambertini, je te retrouve bientôt pour continuer le bavardage. En tous cas j'espère que tous va bien pour toi depuis que nous ne discutons plus. Je te dit à très bientôt, Amicalement, Gaucho
 

Membres en ligne

Aucun membre en ligne actuellement.
Haut