« Une autre vie est possible » scandait les vaisseaux publicitaire dans le Los Angeles 2017 de Blade Runner. Certains ont déjà franchi le pas de la campagne, voire de la forêt. On cite facilement la forêt pour ceux qui forcent leur isolement; Des cabanes avec des accès en chemins de terres et des habitats sur des zones plutôt boisées.
On peut retrouver des programmeurs au coeur des causses en Lozère, avec un pâturage devant la fenêtre.
Des artisans partis en milieu rural, des citadins convertis en hôteliers verts. Des cadres vivant leur passion artistique avec des activités de maraichage bio. Des individus modestes ou plus jeunes vivant en cabanes ou en yourtes, ou sur des projets de relevages de ruines.
C’est peut être, se décentrer dans la lignée de nos ainés: les post beat générations. Les routards qui ont repris le chemin des campagnes dans les années 70s. Le chemin des bois est relativement simple, la réussite plus complexe surtout sur un point de vue mental.
Nous relatons dans ces articles des tranches de vies, des chroniques de néo-ruraux. Parallèlement, nous illustrons des aventures insolites pour que vos envies trouvent une voie sereine dans les projets bucoliques. Vivre à la campagne, c’est peut être à tester doucement et attendre le déclic comme l’explique Jim Harrison.
Des projets actifs, des séjours entrecoupés, un environnement propice aux échanges associatifs, sont des facteurs à prendre en compte. Les nouvelles techniques de culture, les métiers connectés sont aujourd’hui un gros avantages pour s’installer dans une cabane au fond des bois.
Partagez vos projets, vos expériences sur le forum ou en commentaires. Nous avons des colonnes spécifiques pour vos questions sur le forum des cabanes.
Alexandre Chamelat nous invite à croiser sa route pour un road trip reportage au fil de l’année 2015. Suivons le!
(suite…)Alexandre Chamelat nous adresse ses photos de repérages déjà très sympas pour son futur road trip reportage à la rencontre des habitants de cabanes, aventuriers des bois. A faire tourner pour faire connaître le projet...
Martine Schnoering nous parle d'une petite maison de randonneurs dans le massif du Donon (Vosges) dans laquelle elle aime venir séjourner de façon hebdomadaire, et dont l'ambiance lui rappelle le film Dersou Ouzala, de KUROSAWA.
(suite…)Massif du Donon, décembre 2OOO
« Ma maison dans la forêt » n’est pas à moi et ne semble pas non plus appartenir à qui que ce soit. Elle offre son modeste « confort » à tous ceux qui en franchissent le seuil, randonneurs en quête d’un abri, fêtards d’un soir, bûcherons ou « ermites du dimanche », comme moi, à la recherche d’un peu de calme.